L’alliance est mise en question régulièrement. Un peut comme une substance peu palpable. Il semble pourtant que le « feeling » avec le thérapeute ait de l’importance dans l’évolution des symptômes.
Lors d’un premier rendez-vous avec un.e sophrologue, il y a une démarche et peut être l’évocation d’objectifs précis. Ce moment amène le départ de l’alliance sophronique.
La sophrologie est souvent vu comme une méthode qui développe l’adulte et qui n’a que peut d’utilité pour l’enfant. S’il est vrai que les séances avbec beaucoup de relaxation et peu de dynamique sont peut intéressante pour les jeunes humains, les techniques sophrologique adapaté avec un apport ludique permettent un réel bienfait chez les enfants et adolescent.
La sophrologie et la performance sportive semble presque opposée. Peut-on rechercher la performance du sportif tout en recherchant sont bien-être ?
Il est évident que qu’un.e sportif.ve doivent puisez très loin dans ses ressources pour ce surpasser.
Quelle est alors la place de la sophrologie caycedienne dans ce schémas ?
